Le Stratagème de Carcassonne - Pierre-Jean Brassac

Note 5/10

Gaucelin, jeune homme adopté rentre au pays alors que se produit un ensemble de meurtres. Lemanque et Hardouin, deux voleurs, tueur, violeur notoire tue les parents de Gaucelin. Il veut alors venger ce meurtre et part à la recherche d'un maître d'arme. Il veut, dans le même temps retrouver ses parents, mais les événements vont quelque peu contrarier ses projets. Il va se retrouver au cœur de la cité de Carcassonne. Il va y apprendre l'enluminure.
Mais Gaucelin, où qu'il soit, croise toujours le chemin des deux assassins de ses parents, il cultive en douce une vengeance qui sera terrible. Les deux assassins ne penseront pas, qu'avec le temps passé Gauselin au oublié...

L'auteur, Pierre-Jean Brassac, mélange des scènes d’histoire et des scènes d'amour... entre coupé d'un semblant d'enquête policière, quoi qu'il n'y ait pas réellement d'enquête, mais plutôt un sentiment de vengeance. Et tout cela en 216 pages...

Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé, mais je n'ai détesté, je reste tout simplement sur ma faim. Je pensait en apprendre beaucoup plus sur le métier d'enlumineur, voir même sur Carcassonne ou tout simplement un peu plus sur tout ce qui est abordé ici...
Le livre mérite d'être développé sur beaucoup de sujets. Il pourrait faire un très bon thriller historique... Dommage qu'il ne puisse pas vraiment se placer dans un thème défini.

4ème de couv : 1348, La Guerre de Cent ans fait rage. L’assassinat de ses parents force le jeune Gaucelin à quitter son village pour apprendre l’art de l’enluminure. Quand il fait son entrée dans la cité de Carcassonne dévastée par la peste, l’armée du Prince noir marche vers les rives de l’Aude. L’heure n’est plus guère aux doux dessins hiératiques du parchemin. L’enfer est derrière les murs. Des habitants ajoutent encore à l’horreur en s’acharnant sur d’innocentes jouvencelles. De mises en scène diaboliques en meurtres rituels, la tension devient insoutenable. Gaucelin se lance alors dans une investigation mouvementée pour tenter de confondre les coupables au risque d’y perdre lui-même la vie.
Le sage Maître Ezra, un médecin juif, et le peintre Jacques, veillent sur lui…