La fille de Brooklyn - Guillaume Musso
Note 8/10
Il y a quelque temps j’ai lu « L’appel de l’ange »
J’avais aimé, mais je découvrais l’auteur, en effet je ne suis pas fans de ces auteurs qui sortent tous les ans un livre qui est très souvent lu fans le train ou sur la plage, je ne critique pas, mais ave ce dernier opus, je consolide le fait que je ne les aime pas. En effet, ici je retrouve la trame de L’appel de l’ange, presque la même histoire entre Paris en New-York, une enquête qui commence à Paris pour se finir aux États-Unis, enquête somme toute banale.
En effet Raphaël, écrivain romancier à succès très célèbre est très amoureux d’Anna, médecine brillante qui disparait lors d’un voyage en amoureux sur le cote d’azur… aidé de Marc Caradec ami en ancien policier, tous deux partent à la recherche d’Anna. Ils vont découvrir qu’elle se cache sous une fausse identité, ils vont devoir trouver pourquoi et dans quel but… ils vont aussi découvrir le passé d’Anna, passé qui resurgi peu à peu au fil des chapitres.
Guillaume Musso nous dépeint une histoire palpitante mais qui, à mon gout est gâchée par des détails sans importance, des explications qui n’apportent pas beaucoup à l’histoire et qui plombe un peu la lecture et le rythme s’en ressent.
Une première partie assez intéressante qui donne envie d’aller très loin, puis peu à peu, les chapitres défilent et l’histoire s’embrouille par le fait qu’il y ait beaucoup de flash-back, en effet presque tous les personnages vont retourner dans le passé, là il faut suivre, je disais même lire toute cette partie en une seule fois pour ne pas perdre le fil .
Le titre de ce livre « La Fille de Brooklyn » est assez titrer par les cheveux… tout de même, l’auteur aurait pu trouver mieux.
Enfin, j’ai aimé cette lecture, je vais persister en lisant d’autres titres de cet auteur….
4ème de couv : Je me souviens très bien de cet instant. Nous étions face à la mer.
L’horizon scintillait. C’est là qu’Anna m’a demandé : « Si j’avais commis le pire, m’aimerais-tu malgré tout ? »
Vous auriez répondu quoi, vous ?
Anna était la femme de ma vie. Nous devions nous marier dans trois semaines. Bien sûr que je l’aimerais quoi qu’elle ait pu faire.
Du moins, c’est ce que je croyais, mais elle a fouillé dans son sac d’une main fébrile, et m’a tendu une photo.
– C’est moi qui ai fait ça.
Abasourdi, j’ai contemplé son secret et j’ai su que nos vies venaient de basculer pour toujours.
Sous le choc, je me suis levé et je suis parti sans un mot.
Lorsque je suis revenu, il était trop tard : Anna avait disparu.